Un regard sur le symbolisme cryptique trouvé sur la couverture de The Economist «The World in 2019», qui inclut les Quatre cavaliers de l’Apocalypse. Qu’est-ce qu’ils essaient de nous dire ?
Chaque année en décembre, le célèbre magazine The Economist publie un numéro spécial qui prédit les tendances et les événements de l’année à venir. Et chaque fois, la couverture de ces éditions est une collection élaborée d’images faisant référence à diverses personnes et concepts. Bien que la signification de certaines de ces images soit évidente, d’autres semblent codées pour «les connaisseurs». L’édition de cette année ne fait pas exception. En fait, elle est plus cryptée que jamais.
Pourquoi quelqu’un passerait-il du temps à déchiffrer ces couvertures ? Parce que The Economist n’est pas une publication quelconque, elle est directement liée à l’élite mondiale. Elle appartient en partie à la famille bancaire britannique Rothschild et son rédacteur en chef, John Micklethwait, qui a participé à plusieurs reprises à la conférence Bilderberg. En bref, les dirigeants de The Economist ont une connaissance approfondie du programme de l’élite et font de leur mieux pour le promouvoir.
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Excellente analyse
Excellente analyse. Aujourd'hui, on en sait un peu plus sur la signification du pangolin sur la couverture...
Ce serait sympa de refaire une analyse à postériori maintenant que 2019 est terminé...
On sait aujourd'hui ce que signifie le pangolin!