L’abus rituel et le contrôle mental est un grave problème dans notre communauté et notre nation, en constante augmentation. Ce problème n’est pas nouveau, mais la société ne fait que commencer à reconnaître la gravité et l’étendue de ce phénomène. Nous avons tous besoin d’apprendre sur ce sujet. Les parents ont besoin d’être éduqués sur les caractéristiques de ces abus se produisant dans les écoles maternelles et les foyers. Beaucoup de professionnels rencontrent des victimes de ces abus rituels mais ne reconnaissent pas les motivations pour de tels actes. Le concept de l’abus rituel, selon lequel des groupes d’adultes terroriseraient et tortureraient des enfants afin de les contrôler, est effrayant et donc controversé. Ce qui entraîne pour nous tous un problème de déni et de peur vis-à-vis d’une telle information.
En dépit des preuves détaillées d’abus rituels venant de témoignages d’enfants, de familles, de victimes adultes et de professionnels travaillant avec eux, en dépit de la remarquable cohérence de ces rapports à la fois nationaux et internationaux, la société dans son ensemble résiste à croire en cette réalité des abus rituels. Il reste cette croyance erronée que le satanisme et autres activités occultes sont isolées et rares.
La Commission pour les Femmes a reconnu la nécessité d’informer sur ce sujet. En février 1988, un Groupe de Travail sur l’abus rituel a été formé. Ce Groupe est composé de professionnels du domaine médical, de la santé mentale, de l’éducation, de la loi, de la religion, de services aidant des survivants adultes et parents d’enfants victimes. Tous sont bénévoles et donnent de leur temps et de leur énergie pour ce travail.
Ce rapport est le résultat de plusieurs mois de travail et je tiens à exprimer ma profonde gratitude à ces membres du ‘Groupe de Travail’ qui ont participé à sa rédaction.
Mes remerciements à Catherine Gould Ph.D et Lyn Laboriel MD pour leur contribution exceptionnelle à ce projet. Mes remerciements vont aussi à David Sielaff pour sa contribution pour la mise en page de ce rapport.
Je tiens également à remercier « the Boards of Supervisors » de Los Angeles pour leur soutient dans notre travail.
MYRA B. Riddell, LCSW
Vice-présidente, Commission des Femmes
Présidente du Groupe de Travail sur l’abus rituel
L’abus rituel et le contrôle mental est un grave problème dans notre communauté et notre nation, en constante augmentation. Ce problème n’est pas nouveau, mais la société ne fait que commencer à reconnaître la gravité et l’étendue de ce phénomène. Nous avons tous besoin d’apprendre sur ce sujet. Les parents ont besoin d’être éduqués sur les caractéristiques de ces abus se produisant dans les écoles maternelles et les foyers. Beaucoup de professionnels rencontrent des victimes de ces abus rituels mais ne reconnaissent pas les motivations pour de tels actes. Le concept de l’abus rituel, selon lequel des groupes d’adultes terroriseraient et tortureraient des enfants afin de les contrôler, est effrayant et donc controversé. Ce qui entraîne pour nous tous un problème de déni et de peur vis-à-vis d’une telle information.
En dépit des preuves détaillées d’abus rituels venant de témoignages d’enfants, de familles, de victimes adultes et de professionnels travaillant avec eux, en dépit de la remarquable cohérence de ces rapports à la fois nationaux et internationaux, la société dans son ensemble résiste à croire en cette réalité des abus rituels. Il reste cette croyance erronée que le satanisme et autres activités occultes sont isolées et rares.
La Commission pour les Femmes a reconnu la nécessité d’informer sur ce sujet. En février 1988, un Groupe de Travail sur l’abus rituel a été formé. Ce Groupe est composé de professionnels du domaine médical, de la santé mentale, de l’éducation, de la loi, de la religion, de services aidant des survivants adultes et parents d’enfants victimes. Tous sont bénévoles et donnent de leur temps et de leur énergie pour ce travail.
Ce rapport est le résultat de plusieurs mois de travail et je tiens à exprimer ma profonde gratitude à ces membres du ‘Groupe de Travail’ qui ont participé à sa rédaction.
Mes remerciements à Catherine Gould Ph.D et Lyn Laboriel MD pour leur contribution exceptionnelle à ce projet. Mes remerciements vont aussi à David Sielaff pour sa contribution pour la mise en page de ce rapport.
Je tiens également à remercier « the Boards of Supervisors » de Los Angeles pour leur soutient dans notre travail.
MYRA B. Riddell, LCSW
Vice-présidente, Commission des Femmes
Présidente du Groupe de Travail sur l’abus rituel
DÉFINITION
DÉFINITION
L’abus rituel est une forme brutale de maltraitance sur enfants, adolescents et adultes, comprenant de la violence physique, sexuelle et psychologique et impliquant la pratique de rituels. Le mot rituel ne signifiant pas nécessairement ‘satanique’. Cependant, la plupart des survivants déclarent qu’ils ont été abusés rituellement dans un cadre de culte satanique, dans le but de les endoctriner dans des croyances et des pratiques satanistes. L’abus rituel est rarement isolé, il est généralement répété sur une longue période.
La violence physique est extrême, comprenant de la torture et des meurtres. Les abus sexuels sont douloureux, sadiques et humiliants. Cela est pratiqué dans le but de dominer la victime. La violence psychologique est dévastatrice, elle implique l’utilisation de rituels, d’un endoctrinement comprenant des techniques de contrôle mental ainsi que l’emploi de médicaments psychotropes. L’intimidation par les membres de la secte terrorise la victime profondément. Suite aux abus, la victime se retrouve terrorisée, dans un état de contrôle mental et de dissociation, ce qui rend la communication vers l’extérieur extrêmement difficile.
L’abus rituel est habituellement pratiqué par les membres d’une secte. Le but de ces violences semble avoir trois raisons :
L’abus rituel est une forme brutale de maltraitance sur enfants, adolescents et adultes, comprenant de la violence physique, sexuelle et psychologique et impliquant la pratique de rituels. Le mot rituel ne signifiant pas nécessairement ‘satanique’. Cependant, la plupart des survivants déclarent qu’ils ont été abusés rituellement dans un cadre de culte satanique, dans le but de les endoctriner dans des croyances et des pratiques satanistes. L’abus rituel est rarement isolé, il est généralement répété sur une longue période.
La violence physique est extrême, comprenant de la torture et des meurtres. Les abus sexuels sont douloureux, sadiques et humiliants. Cela est pratiqué dans le but de dominer la victime. La violence psychologique est dévastatrice, elle implique l’utilisation de rituels, d’un endoctrinement comprenant des techniques de contrôle mental ainsi que l’emploi de médicaments psychotropes. L’intimidation par les membres de la secte terrorise la victime profondément. Suite aux abus, la victime se retrouve terrorisée, dans un état de contrôle mental et de dissociation, ce qui rend la communication vers l’extérieur extrêmement difficile.
L’abus rituel est habituellement pratiqué par les membres d’une secte. Le but de ces violences semble avoir trois raisons :
De nombreuses victimes sont de très jeunes enfants qui souffriront énormément de ces graves dommages émotionnels après avoir subit ces abus sur une longue période. Ces jeunes victimes sont terrorisées et endoctrinées dans le système de croyance de leurs agresseurs. Longtemps après, les victimes de ces violences vivront dans un état de terreur et de dissociation, subissant ces techniques de contrôle mental. Tout ceci fait qu’un témoignage sur ces violences est une expérience terrifiante et douloureuse.
Ces abus rituels sont connus pour être une partie intégrante de la vie de certaines familles dont l’un ou les deux parents participent ou collaborent à un réseau. Ces groupes sont généralement satanistes. Leurs enfants sont gravement maltraités de façon continuelle, avec très peu de répit. Les conséquences sont dévastatrices.
L’abus rituel peut également avoir lieu sans que les parents ne le sachent. En maternelles, en crèches, églises, camps d’été, entre les mains du baby-sitter ou des voisins.
La violence rituelle dans un cadre institutionnel, n’est pas accessoire, c’est la raison même de l’existence des institutions. Les enfants sont victimes de sévices sexuels, un rituel/intimidation pour les terroriser et leur imposer le silence; mais également pour les convertir à un système de croyance, à un culte.
L’abus rituel sur les adolescents.
Il s’agit de les faire participer aux abus, aux tortures, cela peut avoir lieu dans un cadre familial ou à l’école. Ou bien dans un groupe de jeunes s’orientant vers le soi-disant satanisme ou autres rituels violents.
Beaucoup de victimes adultes ou d’auteurs d’abus rituels ayant été sous l’influence de ces pratiques durant l’enfance ou l’adolescence peuvent avoir développés des troubles dissociatifs sévères, y compris un syndrome de personnalité multiple (aujourd’hui nommé Trouble Dissociatif de l’Identité). Ces adultes sont souvent intégrés dans la société et leur appartenance à un culte satanique ou autre n’est pas connu en dehors de ce cadre occulte. Certains profiteront de leur emploi pour infiltrer ou recruter pour leur culte. Certains adultes viendront à adhérer au culte car attirés par un accès facile à une sexualité déviante, par la perversion, par la disponibilité de drogues illicites, par les promesses d’argent et la spiritualité satanique orientée vers le pouvoir et l’absence de morale.
De nombreuses victimes sont de très jeunes enfants qui souffriront énormément de ces graves dommages émotionnels après avoir subit ces abus sur une longue période. Ces jeunes victimes sont terrorisées et endoctrinées dans le système de croyance de leurs agresseurs. Longtemps après, les victimes de ces violences vivront dans un état de terreur et de dissociation, subissant ces techniques de contrôle mental. Tout ceci fait qu’un témoignage sur ces violences est une expérience terrifiante et douloureuse.
Ces abus rituels sont connus pour être une partie intégrante de la vie de certaines familles dont l’un ou les deux parents participent ou collaborent à un réseau. Ces groupes sont généralement satanistes. Leurs enfants sont gravement maltraités de façon continuelle, avec très peu de répit. Les conséquences sont dévastatrices.
L’abus rituel peut également avoir lieu sans que les parents ne le sachent. En maternelles, en crèches, églises, camps d’été, entre les mains du baby-sitter ou des voisins.
La violence rituelle dans un cadre institutionnel, n’est pas accessoire, c’est la raison même de l’existence des institutions. Les enfants sont victimes de sévices sexuels, un rituel/intimidation pour les terroriser et leur imposer le silence; mais également pour les convertir à un système de croyance, à un culte.
L’abus rituel sur les adolescents.
Il s’agit de les faire participer aux abus, aux tortures, cela peut avoir lieu dans un cadre familial ou à l’école. Ou bien dans un groupe de jeunes s’orientant vers le soi-disant satanisme ou autres rituels violents.
Beaucoup de victimes adultes ou d’auteurs d’abus rituels ayant été sous l’influence de ces pratiques durant l’enfance ou l’adolescence peuvent avoir développés des troubles dissociatifs sévères, y compris un syndrome de personnalité multiple (aujourd’hui nommé Trouble Dissociatif de l’Identité). Ces adultes sont souvent intégrés dans la société et leur appartenance à un culte satanique ou autre n’est pas connu en dehors de ce cadre occulte. Certains profiteront de leur emploi pour infiltrer ou recruter pour leur culte. Certains adultes viendront à adhérer au culte car attirés par un accès facile à une sexualité déviante, par la perversion, par la disponibilité de drogues illicites, par les promesses d’argent et la spiritualité satanique orientée vers le pouvoir et l’absence de morale.
LES TYPES D'ABUS
LES TYPES D'ABUS
VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE
VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE
La violence psychologique qui est infligée dans le cadre d’abus rituels provoque une grave souffrance mentale et émotionnelle.
Les victimes sont soumises à une profonde terreur, cette technique de contrôle fait que la plupart des victimes se dissocient de leurs souvenirs de l’expérience et perdent leur libre arbitre.
Quelques exemples rapportés :
La violence psychologique qui est infligée dans le cadre d’abus rituels provoque une grave souffrance mentale et émotionnelle.
Les victimes sont soumises à une profonde terreur, cette technique de contrôle fait que la plupart des victimes se dissocient de leurs souvenirs de l’expérience et perdent leur libre arbitre.
Quelques exemples rapportés :
VIOLENCE PHYSIQUE
VIOLENCE PHYSIQUE
Les victimes d’abus rituels subissent des violences physiques allant souvent jusqu’à la torture.
Exemples les moins détectables :
Les victimes d’abus rituels subissent des violences physiques allant souvent jusqu’à la torture.
Exemples les moins détectables :
Exemples plus facilement détectables :
Exemples plus facilement détectables :
ABUS SEXUELS
ABUS SEXUELS
Les abus sexuels sont extrêmement brutaux, sadiques et humiliants. Cela est beaucoup plus violent que ce qui est « habituellement » infligé par un pédophile ou dans un inceste. Le but semble être d’avoir la domination totale de la victime.
Les abus sexuels sont extrêmement brutaux, sadiques et humiliants. Cela est beaucoup plus violent que ce qui est « habituellement » infligé par un pédophile ou dans un inceste. Le but semble être d’avoir la domination totale de la victime.
”Lire ces informations peut-être très bouleversant pour certaines personnes. Il est cependant nécessaire que le public soit mieux informé sur cette réalité et l'ampleur des sévices ritualisés et criminels dans notre pays.
1 - La majorité des agresseurs d'enfants incarcérés ont eux-mêmes été maltraités dans leur enfance. Ils ont abusé en moyenne de plusieurs centaines d'enfants chacun.
Kathleen Sullivan
2 - Beaucoup d'adultes survivants en phase de guérison commencent à se rendre compte qu'ils ont été utilisés dans beaucoup plus que des rituels occultes. Certains se rappellent avoir été utilisés par la force, lorsqu'ils étaient enfant, dans des expériences gouvernementales d'irradiation et de contrôle mental. Certains ont été utilisés, enfants et adultes, comme mule pour transporter de la drogue mais aussi pour le trafic d'armes ou le commerce d'enfants. D'autres ont servis de messagerie avec des "courriers mentaux" top-secret destinés aux chefs d'états mais également d'esclaves sexuels pour les politiciens et leurs associés. Certains comme moi ont été utilisés comme assassins pour les services gouvernementaux.
Revoyez avec un autre regard ces techniques d'abus "rituels"... D'ou viennent ce genre d'idée extrêmement efficaces ?
”Lire ces informations peut-être très bouleversant pour certaines personnes. Il est cependant nécessaire que le public soit mieux informé sur cette réalité et l'ampleur des sévices ritualisés et criminels dans notre pays.
1 - La majorité des agresseurs d'enfants incarcérés ont eux-mêmes été maltraités dans leur enfance. Ils ont abusé en moyenne de plusieurs centaines d'enfants chacun.
Kathleen Sullivan
2 - Beaucoup d'adultes survivants en phase de guérison commencent à se rendre compte qu'ils ont été utilisés dans beaucoup plus que des rituels occultes. Certains se rappellent avoir été utilisés par la force, lorsqu'ils étaient enfant, dans des expériences gouvernementales d'irradiation et de contrôle mental. Certains ont été utilisés, enfants et adultes, comme mule pour transporter de la drogue mais aussi pour le trafic d'armes ou le commerce d'enfants. D'autres ont servis de messagerie avec des "courriers mentaux" top-secret destinés aux chefs d'états mais également d'esclaves sexuels pour les politiciens et leurs associés. Certains comme moi ont été utilisés comme assassins pour les services gouvernementaux.
Revoyez avec un autre regard ces techniques d'abus "rituels"... D'ou viennent ce genre d'idée extrêmement efficaces ?
LEXIQUE
LEXIQUE
Cliquez sur pour voir la définition
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Rituel de naissance
Enfants agresseurs sexuels
Consentement
Culte destructeur
Les démons et les « mauvais esprits »
Divulgation
Dissociation
Violence sexuelle extra-familiale
Violence sexuelle intra-familiale
La « chirurgie magique »
Rituel de mariage
Trouble de la personnalité multiple (trouble dissociatif de l’identité – TDI)
Occultisme
Pédophilie
Pentagramme
Les auteurs d’abus rituels
Pornographie
Trouble stress post-traumatique
Sacrifice
Sacrifice humain
Satan
Satanisme
L’alphabet satanique
Le calendrier satanique
État de transe
Enfants victimes
Sorcellerie
Groupes identifiés avec le satanisme
L’abus rituel et l’utilisation du contrôle mental
Rituel de naissance
Enfants agresseurs sexuels
Consentement
Culte destructeur
Les démons et les « mauvais esprits »
Divulgation
Dissociation
Violence sexuelle extra-familiale
Violence sexuelle intra-familiale
La « chirurgie magique »
Rituel de mariage
Trouble de la personnalité multiple (trouble dissociatif de l’identité – TDI)
Occultisme
Pédophilie
Pentagramme
Les auteurs d’abus rituels
Pornographie
Trouble stress post-traumatique
Sacrifice
Sacrifice humain
Satan
Satanisme
L’alphabet satanique
Le calendrier satanique
État de transe
Enfants victimes
Sorcellerie
Groupes identifiés avec le satanisme
L’abus rituel et l’utilisation du contrôle mental
LES TROUBLES PHYSIQUES
LES TROUBLES PHYSIQUES
La faim et la soif
La faim et la soif
Les enfants maltraités rituellement sont souvent privés de nourriture et d’eau sur une période prolongée, en leur disant qu’ils vont mourir de faim et de soif. Cette peur de mourir rend l’enfant prêt à se conformer à n’importe quel comportement ou conviction afin de recevoir de la nourriture et de l’eau. Le membre qui viendra finalement nourrir et abreuver l’enfant sera perçu comme un bienfaiteur et un allié. L’enfant se sentira profondément reconnaissant et donc sensible à la relation avec ce membre de la secte, augmentant ainsi sa vulnérabilité et son identification avec le groupe, ses croyances et ses pratiques.
Les enfants maltraités rituellement sont souvent privés de nourriture et d’eau sur une période prolongée, en leur disant qu’ils vont mourir de faim et de soif. Cette peur de mourir rend l’enfant prêt à se conformer à n’importe quel comportement ou conviction afin de recevoir de la nourriture et de l’eau. Le membre qui viendra finalement nourrir et abreuver l’enfant sera perçu comme un bienfaiteur et un allié. L’enfant se sentira profondément reconnaissant et donc sensible à la relation avec ce membre de la secte, augmentant ainsi sa vulnérabilité et son identification avec le groupe, ses croyances et ses pratiques.
La douleur
La douleur
Les enfants maltraités rituellement sont torturés et abusés sexuellement d’une manière très douloureuse. La douleur les amènent à se dissocier et, tout comme un prisonnier de guerre soumis à la torture, ils deviennent prêts à faire tout ce que l’on exige d’eux pour faire cesser cette douleur.
Pour un jeune enfant étant maltraité rituellement dans un cadre extra-familial, même une brève douleur extrême l’affectera profondément et il devient alors potentiellement contrôlable par la secte. Pour les enfants élevés dans le culte, l’utilisation de la douleur et les menaces de violence continueront aussi longtemps qu’il sera soumis à la secte, cela a pour conséquence sa soumission et son adhésion à la secte.
Les enfants maltraités rituellement sont torturés et abusés sexuellement d’une manière très douloureuse. La douleur les amènent à se dissocier et, tout comme un prisonnier de guerre soumis à la torture, ils deviennent prêts à faire tout ce que l’on exige d’eux pour faire cesser cette douleur.
Pour un jeune enfant étant maltraité rituellement dans un cadre extra-familial, même une brève douleur extrême l’affectera profondément et il devient alors potentiellement contrôlable par la secte. Pour les enfants élevés dans le culte, l’utilisation de la douleur et les menaces de violence continueront aussi longtemps qu’il sera soumis à la secte, cela a pour conséquence sa soumission et son adhésion à la secte.
Les drogues
Les drogues
Enfants et adultes victimes d’abus rituels ont raconté avoir été contraint d’absorber des psychotropes. Certains psychotropes sont injectés ou administrés en suppositoires. D’autres peuvent être incorporé dans la nourriture ou la boisson, ou tout simplement avalé sous la contrainte.
Les effets de ces drogues ont des effets hypnotiques et paralytiques, provoquant chez la victime des états allant de la confusion, de la somnolence, de la passivité, de l’impuissance mais également une altération de la mémoire. Les victimes ont tendance à difficilement se rappeler de ces expériences douloureuses, comme si elles étaient irréelles ou qu’il s’agissait de rêves.
En outre, en étant drogué, le jeune enfant est encore plus malléable et endoctriné. Les chefs de secte misent sur cette distorsion de la réalité induite par les drogues pour renforcer l’illusion qu’ils ont un pouvoir absolu auquel l’enfant doit se soumettre.
Enfants et adultes victimes d’abus rituels ont raconté avoir été contraint d’absorber des psychotropes. Certains psychotropes sont injectés ou administrés en suppositoires. D’autres peuvent être incorporé dans la nourriture ou la boisson, ou tout simplement avalé sous la contrainte.
Les effets de ces drogues ont des effets hypnotiques et paralytiques, provoquant chez la victime des états allant de la confusion, de la somnolence, de la passivité, de l’impuissance mais également une altération de la mémoire. Les victimes ont tendance à difficilement se rappeler de ces expériences douloureuses, comme si elles étaient irréelles ou qu’il s’agissait de rêves.
En outre, en étant drogué, le jeune enfant est encore plus malléable et endoctriné. Les chefs de secte misent sur cette distorsion de la réalité induite par les drogues pour renforcer l’illusion qu’ils ont un pouvoir absolu auquel l’enfant doit se soumettre.
L’épuisement
L’épuisement
Les enfants maltraités rituellement sont souvent privés de sommeil. Dans un contexte extra-familial, l’enfant sera privé de sieste, du repos nécessaire. Dans un milieu intra-familial, l’enfant peut-être privé de sommeil pendant une longue période, l’emploi de psychotropes répété renforce le sentiment d’épuisement. Une personne dans un état d’épuisement est beaucoup plus ouverte au contrôle mental parce que la fatigue sabote sa capacité de jugement et d’adaptation, particulièrement chez les jeunes enfants.
Les enfants maltraités rituellement sont souvent privés de sommeil. Dans un contexte extra-familial, l’enfant sera privé de sieste, du repos nécessaire. Dans un milieu intra-familial, l’enfant peut-être privé de sommeil pendant une longue période, l’emploi de psychotropes répété renforce le sentiment d’épuisement. Une personne dans un état d’épuisement est beaucoup plus ouverte au contrôle mental parce que la fatigue sabote sa capacité de jugement et d’adaptation, particulièrement chez les jeunes enfants.
L’isolement
L’isolement
Mise en placards des enfants, dans des trous, des cages, des cercueils et autres lieux confinés, généralement sombres. Les enfants y sont isolés et il leur est dit qu’ils vont y mourir. La privation sensorielle peut alors entraîner une certaine désorientation. Un tel isolement pousse l’enfant à se sentir désespéré et submergé par la peur et la terreur. L’adulte (bourreau) qui vient alors ‘libérer’ l’enfant sera perçu par celui-ci comme un sauveteur, ayant souvent pour conséquence que l’enfant se rapprochera plus particulièrement de cette personne.
Ces liens crées avec un ou plusieurs membres du culte renforcent l’identification de l’enfant avec les valeurs et les croyances du groupe. En d’autres termes, ce « jeux » d’isolement et de délivrance/sauvetage avec l’enfant le rendra plus vulnérable à l’endoctrinement pour les croyances et les pratiques destructrices de la secte.
Mise en placards des enfants, dans des trous, des cages, des cercueils et autres lieux confinés, généralement sombres. Les enfants y sont isolés et il leur est dit qu’ils vont y mourir. La privation sensorielle peut alors entraîner une certaine désorientation. Un tel isolement pousse l’enfant à se sentir désespéré et submergé par la peur et la terreur. L’adulte (bourreau) qui vient alors ‘libérer’ l’enfant sera perçu par celui-ci comme un sauveteur, ayant souvent pour conséquence que l’enfant se rapprochera plus particulièrement de cette personne.
Ces liens crées avec un ou plusieurs membres du culte renforcent l’identification de l’enfant avec les valeurs et les croyances du groupe. En d’autres termes, ce « jeux » d’isolement et de délivrance/sauvetage avec l’enfant le rendra plus vulnérable à l’endoctrinement pour les croyances et les pratiques destructrices de la secte.
Les abus sexuels
Les abus sexuels
Ces enfants sont soumis à des abus brutaux impliquant de la douleur mais aussi une excitation sexuelle avec laquelle l’enfants n’est pas préparé à faire face, autant au niveau physique qu’émotionnel. Parfois cette violence est effectuée avec des instruments symboliques (crucifix, baguette magique….), ce qui renforce la croyance satanique de la secte.
La douleur, surtout si elle est combinée avec une excitation, est extrêmement déroutante et accablante. C’est encore une fois un moyen de contraindre l’enfant à se conformer aux exigences de la secte. L’excitation sexuelle peut contribuer également à une forme de relation déformée, malsaine, avec les agresseurs. Ce qui conduit encore une fois à l’identification avec le culte de bourreaux.
Ces enfants sont soumis à des abus brutaux impliquant de la douleur mais aussi une excitation sexuelle avec laquelle l’enfants n’est pas préparé à faire face, autant au niveau physique qu’émotionnel. Parfois cette violence est effectuée avec des instruments symboliques (crucifix, baguette magique….), ce qui renforce la croyance satanique de la secte.
La douleur, surtout si elle est combinée avec une excitation, est extrêmement déroutante et accablante. C’est encore une fois un moyen de contraindre l’enfant à se conformer aux exigences de la secte. L’excitation sexuelle peut contribuer également à une forme de relation déformée, malsaine, avec les agresseurs. Ce qui conduit encore une fois à l’identification avec le culte de bourreaux.
Lumières vives
Lumières vives
Adultes et enfants victimes de sévices rituels rapportent avoir subit d’intenses lumières projetées sur les yeux juste avant et pendant une programmation. Ces lumières semblent provoquer une désorientation et induire un état de transe, diminuant ainsi la résistance des victimes et augmentant leur suggestibilité à la programmation.
Adultes et enfants victimes de sévices rituels rapportent avoir subit d’intenses lumières projetées sur les yeux juste avant et pendant une programmation. Ces lumières semblent provoquer une désorientation et induire un état de transe, diminuant ainsi la résistance des victimes et augmentant leur suggestibilité à la programmation.
LES TROUBLES ÉMOTIONNELS
LES TROUBLES ÉMOTIONNELS
La terreur
La terreur
Ces enfants ont été terrorisé et ont une profonde peur de leurs agresseurs. Il ont enduré des tortures physiques et des agressions sexuelles douloureuses. Ils ont été témoins de groupes torturant et sacrifiant d’autres enfants ou des adultes, ce qui les terrorise au maximum. Cette terreur est accentuée car ils perçoivent leurs agresseurs comme omnipotents et ayant la capacité de contrôler des démons.
Ces enfants ont également été menacés de mort ou leur famille s’ils parlaient. cet état de terreur fait que l’enfant est prêt à faire ou croire n’importe quoi afin de réduire les menaces qui pèsent sur lui.
Ces enfants ont été terrorisé et ont une profonde peur de leurs agresseurs. Il ont enduré des tortures physiques et des agressions sexuelles douloureuses. Ils ont été témoins de groupes torturant et sacrifiant d’autres enfants ou des adultes, ce qui les terrorise au maximum. Cette terreur est accentuée car ils perçoivent leurs agresseurs comme omnipotents et ayant la capacité de contrôler des démons.
Ces enfants ont également été menacés de mort ou leur famille s’ils parlaient. cet état de terreur fait que l’enfant est prêt à faire ou croire n’importe quoi afin de réduire les menaces qui pèsent sur lui.
La culpabilité et la honte
La culpabilité et la honte
Ces enfants sont contraints de s’engager dans des actes humiliant et dégradant tels qu’être trimbalé comme un objet, devoir ingérer de l’urine, des excréments, du sang ou de la chair humaine. Ils sont photographiés de manière pornographique et l’on leur fait parfois voir ces photos. Ils sont contraint de participer aux abus, aux tortures et aux sacrifices d’animaux mais également d’enfants ou d’adultes. Ils sont ensuite conditionnés à se sentir responsable de leurs actes, comme si ces actions venaient de leur propre volonté, de leur libre arbitre.
Ils sont menacés d’être dénoncés comme des bourreaux avec cette peur d’être à la fois totalement rejetés par leur famille mais aussi d’être arrêtés et emprisonnés. Leur sentiment de culpabilité et de honte contribue, de par leurs actions, à montrer fidélité à la secte et à ses croyances. Ils sont modelés pour ressentir que la secte, ce groupe hyper-violent, est le seul refuge qui puisse les accepter. En se tournant donc vers un groupe sensé l’accepter et le protéger, ces enfants s’ouvrent à encore plus d’endoctrinement.
Ces enfants sont contraints de s’engager dans des actes humiliant et dégradant tels qu’être trimbalé comme un objet, devoir ingérer de l’urine, des excréments, du sang ou de la chair humaine. Ils sont photographiés de manière pornographique et l’on leur fait parfois voir ces photos. Ils sont contraint de participer aux abus, aux tortures et aux sacrifices d’animaux mais également d’enfants ou d’adultes. Ils sont ensuite conditionnés à se sentir responsable de leurs actes, comme si ces actions venaient de leur propre volonté, de leur libre arbitre.
Ils sont menacés d’être dénoncés comme des bourreaux avec cette peur d’être à la fois totalement rejetés par leur famille mais aussi d’être arrêtés et emprisonnés. Leur sentiment de culpabilité et de honte contribue, de par leurs actions, à montrer fidélité à la secte et à ses croyances. Ils sont modelés pour ressentir que la secte, ce groupe hyper-violent, est le seul refuge qui puisse les accepter. En se tournant donc vers un groupe sensé l’accepter et le protéger, ces enfants s’ouvrent à encore plus d’endoctrinement.
L’isolement affectif et le désespoir
L’isolement affectif et le désespoir
Ces enfants se sentent coupés et rejetés par leur famille et le reste du monde. On leur dit souvent que leurs vrais parents sont morts ou qu’ils les ont abandonnés, que les personnes avec lesquelles ils vivent sont des parents adoptifs. Ces enfants rituellement maltraités finissent souvent par se sentir émotionnellement distant de leurs familles. La profonde solitude les entraîne à établir des liaisons avec des membres de secte destructrice en s’identifiant à eux, facilitant ainsi leur endoctrinement dans les croyances et les pratiques.
Ces enfants sont évidemment profondément tristes. Ils vivent la tragédie, l’horreur et l’isolement avec une telle intensité que cela induirait une tristesse accablante même chez un adulte. Ils peuvent être désespérés et sont nombreux à penser que ces dérives sectaires avec ses membres sont tout ce qu’ils méritent et qu’ils n’ont pas d’autre avenir. Le culte arrive à les convaincre que cela ne sert à rien de demander de l’aide et qu’il n’y a donc aucun moyen de sortir du groupe.
Ces enfants se sentent coupés et rejetés par leur famille et le reste du monde. On leur dit souvent que leurs vrais parents sont morts ou qu’ils les ont abandonnés, que les personnes avec lesquelles ils vivent sont des parents adoptifs. Ces enfants rituellement maltraités finissent souvent par se sentir émotionnellement distant de leurs familles. La profonde solitude les entraîne à établir des liaisons avec des membres de secte destructrice en s’identifiant à eux, facilitant ainsi leur endoctrinement dans les croyances et les pratiques.
Ces enfants sont évidemment profondément tristes. Ils vivent la tragédie, l’horreur et l’isolement avec une telle intensité que cela induirait une tristesse accablante même chez un adulte. Ils peuvent être désespérés et sont nombreux à penser que ces dérives sectaires avec ses membres sont tout ce qu’ils méritent et qu’ils n’ont pas d’autre avenir. Le culte arrive à les convaincre que cela ne sert à rien de demander de l’aide et qu’il n’y a donc aucun moyen de sortir du groupe.
La rage
La rage
En raison de la violence vécue, les abus rituels entraînent chez l’enfant une énorme rage. Cette rage est exploitée par le groupe pour l’endoctrinement dans un système de croyance ou la violence et la rage sont valorisé et encouragé. Un enfant qui a été violé à plusieurs reprises par le groupe n’est autorisé à exprimer sa colère, cette violence qu’il a à évacuer, que par la torture ou le meurtre sur d’autres. Ce comportement violent est encouragé et récompensé par les adultes, et il est utilisé pour faire sentir à l’enfant qu’il est déjà lui-même tout autant violent que les adultes de la secte.
En raison de la violence vécue, les abus rituels entraînent chez l’enfant une énorme rage. Cette rage est exploitée par le groupe pour l’endoctrinement dans un système de croyance ou la violence et la rage sont valorisé et encouragé. Un enfant qui a été violé à plusieurs reprises par le groupe n’est autorisé à exprimer sa colère, cette violence qu’il a à évacuer, que par la torture ou le meurtre sur d’autres. Ce comportement violent est encouragé et récompensé par les adultes, et il est utilisé pour faire sentir à l’enfant qu’il est déjà lui-même tout autant violent que les adultes de la secte.
LES TROUBLES COGNITIFS
LES TROUBLES COGNITIFS
Le manque d’informations
Le manque d’informations
Les jeunes victimes manquent d’informations et d’expérience pour réaliser que beaucoup de choses que leur disent les agresseurs sont fausses. Ils n’ont pas le développement cognitif pour pouvoir percevoir les contradictions dans les mensonges qu’on leur dit. Ils sont donc susceptibles d’accepter de la désinformation dans un cadre de contrôle mental.
Les jeunes victimes manquent d’informations et d’expérience pour réaliser que beaucoup de choses que leur disent les agresseurs sont fausses. Ils n’ont pas le développement cognitif pour pouvoir percevoir les contradictions dans les mensonges qu’on leur dit. Ils sont donc susceptibles d’accepter de la désinformation dans un cadre de contrôle mental.
La confusion
La confusion
Ces enfants sont déroutés par la douleur, par l’excitation sexuelle lors des abus, les ordres incessants de faire des choses qu’ils savent mauvaises, le mensonge et la tromperie et le sentiment de perte de contrôle sur leur propre comportement et celui de son entourage. Les enfants dans de telles situations auront à attendre longtemps pour obtenir des explications par des adultes afin de réduire leur confusion quand à ce qu’il se passe pour eux. Le résultat est encore une fois une forte vulnérabilité à l’endoctrinement, car l’enfant accepte toute explication qui lui est offerte par un adulte du culte.
Ces enfants sont déroutés par la douleur, par l’excitation sexuelle lors des abus, les ordres incessants de faire des choses qu’ils savent mauvaises, le mensonge et la tromperie et le sentiment de perte de contrôle sur leur propre comportement et celui de son entourage. Les enfants dans de telles situations auront à attendre longtemps pour obtenir des explications par des adultes afin de réduire leur confusion quand à ce qu’il se passe pour eux. Le résultat est encore une fois une forte vulnérabilité à l’endoctrinement, car l’enfant accepte toute explication qui lui est offerte par un adulte du culte.
LE RÔLE DES ÉTATS DE TRANSE
LE RÔLE DES ÉTATS DE TRANSE
Les conditions physiques et émotionnelles extrêmes lors des abus rituels ont un lourd impact sur l’enfant, en particulier avec la combinaison des états de transe. Il est important de se pencher sur le rôle des états de transe dans le processus de contrôle mental ces enfants maltraités rituellement.
Lorsque les enfants sont en état de transe, ils sont plus ouvert à l’endoctrinement et à d’autres techniques utilisées pour aboutir au contrôle de leurs esprits et de leurs comportements.
Par exemple un enfant en état de transe qui entend un adulte dire à plusieurs reprises que Satan a le pouvoir, est beaucoup plus susceptible d’intégrer profondément cette croyance dans un tel état plutôt que s’il était en état de veille normal.
Il existe de nombreux moyens pour mettre l’enfant en état de transe lors des abus rituels. Le rituel en lui-même contient de nombreux éléments d’induction de transe, tels que le chant, l’isolement, la privation sensorielle, la douleur par toutes formes de tortures extrêmes. Les états de transe sont égarement induits par de l’hypnose.
____ Beaucoup de ces victimes, surtout adultes, se rappellent également avoir participé à des activités gouvernementales illégales dans ces états de transe. Ces activités incluent, mais ne se limite pas, la participation à la pornographie illégale (comme la zoophilie, les snuff-movies, la pédo-pornographie…), les enlèvements et le commerce d’enfants, le transport et le commerce de grosses quantités de drogue, les meurtres rituels (généralement filmés), les assassinats sous contrat, la torture, l’intimidation, attentats, chantage sexuel et cadeaux sexuels pour hommes d’affaires et membres de la magistrature ____
Le fait que certains événements ne sont pas retenus consciemment ne signifie pas qu’ils n’ont pas un impact significatif sur la vie de l’individu. Jusqu’à ce que les mémoires reviennent et puissent être travaillées dans un environnement sécurisant, la victime de tels abus sera toujours contrôlée, dans une certaine mesure, par ses expériences passées.
Le survivant réagira fortement lorsqu’un élément ou événement lui rappellera ce lourd passé (consciemment ou inconsciemment). Par exemple, si le survivant subissait des sévices rituels dans l’enfance lors de chaque pleine Lune, à l’âge adulte, il pourra se sentir contraint de chercher un culte pour participer aux rituels lors des pleines Lunes. Ou bien il/elle pourra être ‘poussé’ à faire un acte de violence physique ou sexuelle à la pleine Lune. Cela peut aussi se manifester par des compulsions afin de faire face à l’anxiété associée à la mémoire dissociative liée à cet événement traumatique.
Les survivants seront ‘rallumés’ (trigger/déclencheurs) à partir de certaines croyances avec lesquelles ils ont été endoctrinés ou par certains comportements qui leur ont été programmés. Ils ne sont généralement pas conscient de ce qui déclenche ces réactions. Avec de l’aide, une victime peut prendre conscience de ces éléments déclencheurs, puis progressivement s’en accaparer et s’en libérer.
Ces comportements peuvent-être déclenchés spontanément par des signaux arrivant par hasard ou non et rappelant à la personne une certaine programmation/endoctrinement passée. Ces déclencheurs peuvent-être aussi utilisés par des membres du culte pour obtenir certains comportements de la victime. Par exemple, un survivant ayant été programmé pendant la petite enfance pourra être approché plusieurs années après par un membre connaissant les mots ou signes déclencheurs à utiliser pour accéder à la programmation de l’individu et ainsi obtenir sa soumission.
Le système de contrôle mental décrit ici a de fortes conséquences émotionnelles, mais aussi des conséquences sur les croyances cognitives et religieuses de la victime, ce qui a un impact majeur sur son fonctionnement.
Les conditions physiques et émotionnelles extrêmes lors des abus rituels ont un lourd impact sur l’enfant, en particulier avec la combinaison des états de transe. Il est important de se pencher sur le rôle des états de transe dans le processus de contrôle mental ces enfants maltraités rituellement.
Lorsque les enfants sont en état de transe, ils sont plus ouvert à l’endoctrinement et à d’autres techniques utilisées pour aboutir au contrôle de leurs esprits et de leurs comportements.
Par exemple un enfant en état de transe qui entend un adulte dire à plusieurs reprises que Satan a le pouvoir, est beaucoup plus susceptible d’intégrer profondément cette croyance dans un tel état plutôt que s’il était en état de veille normal.
Il existe de nombreux moyens pour mettre l’enfant en état de transe lors des abus rituels. Le rituel en lui-même contient de nombreux éléments d’induction de transe, tels que le chant, l’isolement, la privation sensorielle, la douleur par toutes formes de tortures extrêmes. Les états de transe sont égarement induits par de l’hypnose.
____ Beaucoup de ces victimes, surtout adultes, se rappellent également avoir participé à des activités gouvernementales illégales dans ces états de transe. Ces activités incluent, mais ne se limite pas, la participation à la pornographie illégale (comme la zoophilie, les snuff-movies, la pédo-pornographie…), les enlèvements et le commerce d’enfants, le transport et le commerce de grosses quantités de drogue, les meurtres rituels (généralement filmés), les assassinats sous contrat, la torture, l’intimidation, attentats, chantage sexuel et cadeaux sexuels pour hommes d’affaires et membres de la magistrature ____
Le fait que certains événements ne sont pas retenus consciemment ne signifie pas qu’ils n’ont pas un impact significatif sur la vie de l’individu. Jusqu’à ce que les mémoires reviennent et puissent être travaillées dans un environnement sécurisant, la victime de tels abus sera toujours contrôlée, dans une certaine mesure, par ses expériences passées.
Le survivant réagira fortement lorsqu’un élément ou événement lui rappellera ce lourd passé (consciemment ou inconsciemment). Par exemple, si le survivant subissait des sévices rituels dans l’enfance lors de chaque pleine Lune, à l’âge adulte, il pourra se sentir contraint de chercher un culte pour participer aux rituels lors des pleines Lunes. Ou bien il/elle pourra être ‘poussé’ à faire un acte de violence physique ou sexuelle à la pleine Lune. Cela peut aussi se manifester par des compulsions afin de faire face à l’anxiété associée à la mémoire dissociative liée à cet événement traumatique.
Les survivants seront ‘rallumés’ (trigger/déclencheurs) à partir de certaines croyances avec lesquelles ils ont été endoctrinés ou par certains comportements qui leur ont été programmés. Ils ne sont généralement pas conscient de ce qui déclenche ces réactions. Avec de l’aide, une victime peut prendre conscience de ces éléments déclencheurs, puis progressivement s’en accaparer et s’en libérer.
Ces comportements peuvent-être déclenchés spontanément par des signaux arrivant par hasard ou non et rappelant à la personne une certaine programmation/endoctrinement passée. Ces déclencheurs peuvent-être aussi utilisés par des membres du culte pour obtenir certains comportements de la victime. Par exemple, un survivant ayant été programmé pendant la petite enfance pourra être approché plusieurs années après par un membre connaissant les mots ou signes déclencheurs à utiliser pour accéder à la programmation de l’individu et ainsi obtenir sa soumission.
Le système de contrôle mental décrit ici a de fortes conséquences émotionnelles, mais aussi des conséquences sur les croyances cognitives et religieuses de la victime, ce qui a un impact majeur sur son fonctionnement.
LES CONSÉQUENCES ÉMOTIONNELLES
LES CONSÉQUENCES ÉMOTIONNELLES
de cette violence rituelle et du contrôle mental, que ce soit sur l’enfant ou l’adulte, sont :
de cette violence rituelle et du contrôle mental, que ce soit sur l’enfant ou l’adulte, sont :
Terreur
Terreur
Les enfants maltraités rituellement sont submergés par une profonde terreur, ils sont hyper-vigilants, se sentant constamment surveillés. Ils sont anxieux et agités, ce qui leur vaut à tort le qualificatif « d’hyper-actifs ».
Les enfants maltraités rituellement sont submergés par une profonde terreur, ils sont hyper-vigilants, se sentant constamment surveillés. Ils sont anxieux et agités, ce qui leur vaut à tort le qualificatif « d’hyper-actifs ».
Peur d’être découvert ou dénoncé
Peur d’être découvert ou dénoncé
Ces enfants craignent profondément soit les punitions ou soit la perte de l’amour familial et des amis. Tout a été fait pour leur faire sentir que leur participation à des actes odieux a été librement choisie par eux-mêmes et qu’ils sont responsables de leurs actes. Ils ont particulièrement peur d’être jugés responsables par leur famille ou par les autorités (police, justice) et ainsi d’être punis pour leur participation aux violences, aux viols, à la pornographie et aux meurtres….
Ces enfants craignent profondément soit les punitions ou soit la perte de l’amour familial et des amis. Tout a été fait pour leur faire sentir que leur participation à des actes odieux a été librement choisie par eux-mêmes et qu’ils sont responsables de leurs actes. Ils ont particulièrement peur d’être jugés responsables par leur famille ou par les autorités (police, justice) et ainsi d’être punis pour leur participation aux violences, aux viols, à la pornographie et aux meurtres….
Solitude
Solitude
Les enfants abusés rituellement en dehors de leurs familles se sentent douloureusement coupés de cette famille et terriblement solitaires. Ils pensent que les actes qu’ils ont commis et les voeux qu’ils ont été contraints de faire au culte et à Satan les séparent irrémédiablement de leur famille. Ce genre d’éloignement émotionnel avec leurs parents s’accompagne souvent d’un profond désespoir.
Les enfants abusés rituellement en dehors de leurs familles se sentent douloureusement coupés de cette famille et terriblement solitaires. Ils pensent que les actes qu’ils ont commis et les voeux qu’ils ont été contraints de faire au culte et à Satan les séparent irrémédiablement de leur famille. Ce genre d’éloignement émotionnel avec leurs parents s’accompagne souvent d’un profond désespoir.
Identification au groupe et sentiment de méchanceté
Identification au groupe et sentiment de méchanceté
Ces enfants ont tendance à s’identifier avec le mal accompli par le culte. Ce sentiment d’être l’un des ‘méchants’ conduit souvent à des comportements physiquement et sexuellement violents.
Ces enfants ont tendance à s’identifier avec le mal accompli par le culte. Ce sentiment d’être l’un des ‘méchants’ conduit souvent à des comportements physiquement et sexuellement violents.
Rage
Rage
Ces enfants victimes sont encouragés à exprimer leur colère en violentant les autres, il leur est dit ensuite que ceci est la preuve qu’ils deviennent véritablement membre du groupe. Ainsi, la rage des victimes se retournent contre d’autres enfants maltraités rituellement, augmentant ainsi leur sentiment d’impuissance et de piégeage. C’est un cercle vicieux.
Ces enfants victimes sont encouragés à exprimer leur colère en violentant les autres, il leur est dit ensuite que ceci est la preuve qu’ils deviennent véritablement membre du groupe. Ainsi, la rage des victimes se retournent contre d’autres enfants maltraités rituellement, augmentant ainsi leur sentiment d’impuissance et de piégeage. C’est un cercle vicieux.
Perte de conscience du « soi »
Perte de conscience du « soi »
Ces victimes perdent la frontière entre le soi et le groupe. Ils en arrivent à s’identifier au groupe et se sentent comme une extension de celui-ci. Cette perte d’estime de soi contribue au développement de la méchanceté et de la rage.
Ces victimes perdent la frontière entre le soi et le groupe. Ils en arrivent à s’identifier au groupe et se sentent comme une extension de celui-ci. Cette perte d’estime de soi contribue au développement de la méchanceté et de la rage.
Absence de libre arbitre
Absence de libre arbitre
À la suite des techniques de contrôle comme la chirurgie magique, la croyance d’être contrôlé par des démons, la croyance que les membres de la secte connaissent tout ce que fait et pense l’enfant; ainsi cet enfant finira par croire qu’il n’a pas d’autre choix que de se conformer au culte…. et pourtant toujours accablé par la culpabilité et la honte…
À la suite des techniques de contrôle comme la chirurgie magique, la croyance d’être contrôlé par des démons, la croyance que les membres de la secte connaissent tout ce que fait et pense l’enfant; ainsi cet enfant finira par croire qu’il n’a pas d’autre choix que de se conformer au culte…. et pourtant toujours accablé par la culpabilité et la honte…