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Accueil Marilyn Monroe l’Esclave du Contrôle Mental d’Hollywood_Partie 1

Marilyn Monroe l’Esclave du Contrôle Mental d’Hollywood_Partie 1

Marilyn Monroe est peut-être la figure la plus emblématique de la culture américaine et le sex-symbol le plus reconnaissable de tous les temps. Cependant, derrière ce sourire photogénique, Monroe était une personne fragile qui a été exploité et soumis au contrôle mental par de puissants « maîtres ». La première partie de cette série en deux parties se penchera sur la vie cachée de Marilyn, une esclave Monarque d’Hollywood.

 

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Marilyn Monroe est le sex-symbol ultime, incarnant tout ce que Hollywood représente: glamour, paillettes et sex-appeal. Son  personnage emblématique de blonde sensuelle a révolutionné l’industrie du film pour toujours et, à ce jour, est très influent dans la culture populaire. Alors que Marilyn représente tout ce qui est glamour à Hollywood, l’histoire troublante de sa vie privée représente aussi tout ce côté obscur d’Hollywood. Marilyn a en effet été manipulé par des « médecins du contrôle mental » de hauts niveaux qui contrôlaient tous les aspects de sa vie et lui a fait perdre pratiquement son esprit. Sa mort, à l’âge de 36 ans est l’une des premières «mystérieuse mort d’une célébrité » dans la culture populaire. Alors que de nombreux faits indiquent un assassinat, sa mort est toujours considéré comme un «suicide probable».

Alors que de nombreux biographes expliquent les difficultés de Marilyn avec des «problèmes psychologiques», mais en rassemblant des faits sur sa vie et combinés avec la connaissance de la face obscure d’Hollywood révèle quelque chose de beaucoup plus sombre:
Marilyn Monroe était l’une des premières célébrités soumise au contrôle mental Monarque, une branche du programme MK Ultra de la CIA (pour plus d’informations sur le sujet, lisez le dossier intitulé Origines et Techniques du Contrôle Mental Monarque). Avec des traumatismes et une programmation psychologique, Monroe est devenu une marionnette de haut niveau pour l’élite obscure, elle est même devenue un mannequin présidentiel de JFK.

Quand la programmation de Monroe perdit son effet et qu’elle a commencé à sombrer, certains ont affirmé qu’on l’a «jetée du train de la liberté», un terme MK ULTRA pour désigner les esclaves qui sont tués quand ils ne sont plus utiles (et potentiellement dangereux) à leurs maîtres.

La première partie de cette série d’articles se penchera sur la vraie vie et la carrière de Monroe, une jeune fille isolée dont la grande beauté devint une véritable malédiction.


Ses Premières Années

237marCA

Norma Jeane adolescente

Norma Jeane Mortenson eut une jeunesse difficile et instable. Elle n’a jamais connu son père et sa mère était mentalement instable et incapable de prendre soin d’elle. Dans Mon Histoire, Monroe a écrit qu’elle se rappelaient avoir vu sa mère « Crier et Rire», quand on l’a emmené de force à hôpital.

À 11 ans, Norma Jeane a été déclaré pupille de l’État. Elle a vécu toute sa jeunesse dans 11 familles d’accueil au total, quand il n’y avait pas de foyer d’accueil disponible, elle allait parfois jusqu’à l’orphelinat Hollygrove à Los Angeles. Comme se déplacer d’une famille d’accueil à l’autre n’était pas assez difficile, Norma Jeane s’est rappelé avoir été maltraité dans plusieurs d’entre elles. Pire encore, elle a été abusée sexuellement dans au moins trois d’entre elles.

Par exemple, à 11 ans, Norma Jeane a été adopté par la meilleure amie de sa mère, Grace McKee et son nouveau mari, Ervin Silliman « Doc » Goddard. Et la, le «Doc» l’a agressée sexuellement à plusieurs reprises, ce qui a forcé Norma Jeane à partir. Dans un autre cas, quand elle était au collège, Norma Jean fut envoyée à la maison de sa grande-tante à Compton, en Californie. Là, un des fils de sa grande-tante abusa d’elle sexuellement, la forçant, encore une fois, à partir. Voici une autre raison de l’abus :

Elle a dit avoir été fouetté par une mère adoptive pour avoir touché «la partie sale» de son corps. Un autre incident plus grave est survenu à l’âge de huit ans. Un soir, un pensionnaire nommé M. Kimmel (Marilyn révéla plus tard que ce n’était pas son vrai nom) lui demanda de venir dans sa chambre puis verrouilla la porte derrière elle. Il l’entoura de ses bras autour d’elle. Elle lui donna des coups de pied et se débattait. Il avait ce qu’il voulait, lui disant d’être une gentille fille. (Dans une interview plus tard, Marilyn déclara que c’était un abus de caresses).
Quand il la laissa sortir, il lui tendit une pièce et lui dit de s’acheter une glace. Elle lui jeta la pièce à la figure et courut prévenir sa mère adoptive de ce qui c’était passé, mais la femme n’a rien voulu entendre.
«Honte à vous», dit sa mère adoptive. M. Kimmel est mon pensionnaire star.
Norma Jeane alla dans sa chambre, et pleura toute la nuit.
Marilyn disait qu’elle se sentait sale et prenait des bains tout les jours pour se sentir propre après ce qu’il lui était arrivé. Ces tentatives répétées de se sentir propre à travers des douches ou des bains sont un comportement typique pour les victimes d’agressions sexuelles.
Marilyn disait qu’elle a commencé à bégayer après l’incident et cela revenait dans les moments de stress. Quand elle s’exprima sur le sujet de la violence à un journaliste, elle a commencé à bégayer.
Les preuves indiquent le fait qu’elle était une enfant maltraitée dont la sexualisation précoce a conduit son comportement inapproprié à l’âge adulte.

- Daily Mail, “The magic red sweater that turned ‘Norma Jeane, string bean’ into Marilyn Monroe”(Le pull-over rouge magique qui a transformé «Norma Jeane, l’haricot vert» en Marilyn Monroe)

Jeunesse instable et parfois traumatisante de Norma Jeane fait d’elle une candidate idéale pour le programme de contrôle mental Monarque. Être une pupille de l’État, elle n’avait pas de famille stable.

Certains enfants vivent dans des familles d’accueil ou avec des parents adoptifs, ou dans des orphelinats, ou avec des nourrices et des tuteurs. Parce que ces enfants sont à la merci d’adultes non apparentés, ces types d’enfants sont fréquemment vendus pour devenir des esclaves contrôlées par des agences de renseignement.

- Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave

L’expérience de Norma Jeane fait d’elle une cible de choix pour une programmation Beta (également connu sous le nom de programmation « Chaton »). Être une femme séduisante et charismatique qui cherchent à faire partie du show-business, elle avait le profil parfait pour elle.

Beta est la deuxième lettre grecque, et elle représente les modèles sexuels et les alters créés par les programmeurs. La partie primitive du cerveau est impliquée dans ce type de programmation. Un événement d’abus très tôt sera utilisé pour ancrer cette programmation.

- Ibid.


Le Contact avec le Hollywood Occulte

Avant de devenir célèbre, Norma Jeane commença par le nom de Mona et travailla comme strip-teaseuse dans un cabaret à Los Angeles. Là, elle entra en contact avec Anton LaVey, l’homme qui allait fonder plus tard la très influente Eglise de Satan. Selon Springmeier, LaVey était un programmeur MK Ultra et Monroe devint l’une de ses esclaves « Chaton ».

Marilyn Monroe était une orpheline, et elle fut programmée pendant sa petite enfance par les Illuminati/CIA pour devenir une esclave Monarque. Avant de devenir actrice, alors qu’elle était encore une strip-teaseuse, elle a passé du temps avec le fondateur de l’Église de Satan, Anton LaVey. Des victimes de LaVey l’ont dénoncé comme étant un programmeur du contrôle mental.

- Ibid.

La biographie de LaVey mentionne également une « relation » avec Monroe, qui était probablement plus que cela.

Lorsque la saison du carnaval fut terminé, LaVey aurait gagné de l’argent en jouant de l’orgue dans des cabarets de la région de Los Angeles, et il raconta que c’est durant cette période qu’il a eu une brève relation avec Marilyn Monroe encore inconnue.

-  Magus Peter H. Gilmore, Anton Szandor LaVey: A Biographical Sketch

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Anton LaVey visite la tombe de Monroe, 1967.

Vers la même période, LaVey était impliqué avec une autre actrice, qui était connu pour être la «Marilyn Monroe travaillant pour l’ homme »: Jayne Mansfield. La relation entre les deux a été également décrite comme une «relation», mais la réalité est beaucoup plus sombre.

Anton LaVey a été le programmeur de contrôle mental sur un certain nombre d’acteurs et actrices d’Hollywood, y compris Jayne Mansfield et Marilyn Monroe, qui à la fois lui servirent d’esclaves sexuelles.

- Anton Szandor LaVey, Whale.to

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Photos de Jayne Mansfield avec Anton LaVey

Marilyn Monroe et Jayne Mansfield avaient beaucoup de points en commun. Tous deux étaient « de superbes blondes » (mais pas des  blondes naturelles) et ont été crédité de « sexualisation » d’Hollywood. Les deux étaient playmates dans Playboy, les deux ont eu une « aventure » avec Anton LaVey et aussi avec Robert F. Kennedy et John F. Kennedy (« l’aventure » était en réalité de jouer le rôle de mannequins présidentiels). Enfin, toutes deux moururent dans leur trentième année.


Une Star Vivant comme une Détenue

Un autre point commun entre Monroe et Mansfield, c’est qu’ils faisaient toutes deux partie de l’agence de mannequins Blue Book. C’est là que Norma Jean s’est métamorphosé en l’emblématique Marilyn Monroe.

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Quand Norma Jeane a été recruté en tant que modèle, elle avait les cheveux rouges bouclés. Cette « fille d’à côté » va bientôt subir une métamorphose d’Hollywood et incarnera un nouveau personnage nommé Marilyn Monroe.

Les initiés de l’industrie du spectacle convainquirent Norma Jeane à subir une chirurgie esthétique, de changer son nom pour Marilyn Monroe et de changer sa couleur de cheveux en blonde platine. Monroe est Sensuel, une  » blonde écervelée » qui lui a permis d’avoir des rôles dans plusieurs films qui changera clairement la culture à Hollywood.

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Dans le film « Gentlemen Prefer Blondes », Marilyn orne sa marque à Hollywood avec sa coiffure blonde platine. Dans ce film, elle joue le rôle d’une femme sensuelle et matérialiste qui n’a pas peur d’utiliser son charme pour obtenir ce qu’elle veut. Ce type de personnage sera répété maintes et maintes fois dans la culture populaire.

Norma Jeane a utilisé Marilyn Monroe comme nom de scène pendant plusieurs années, mais en 1956, elle accomplit un geste étrange, mais symbolique: elle échangea légalement son nom pour celui de Marilyn Monroe. Un changement qui reflète beaucoup de vérités tristes sur sa vie personnelle: En termes de contrôle mental, le changement de son nom en Marilyn Monroe représente la suppression de sa « personnalité profonde » afin de permettre à son personnage d’alter programmé d’exister. Marilyn était seulement ce «qu’ils» voulaient qu’elle soit.

Quand plusieurs biographies révélèrent, que Marilyn avait peu ou pas de liberté personnelle. Elle n’avait aucun contact avec sa famille et ses maîtres l’ont isolé afin de mieux la contrôler et pour qu’elle évite des personnes  »réels » à l’aider pour pas qu’elle se rende compte qu’elle était manipulée. Les seules personnes avec qui elle était en contact étaient ses «psychologues» et ses maîtres.

L’existence de Marilyn n’était pas celle d’une personne riche, mais plus comme une détenue. Marilyn n’avait droit à aucune vie personnelle, en dehors de celle dictée par ses programmeurs et ses maîtres. Les programmeurs et ceux qui maintenaient ​​le contrôle fortement sur Marilyn, sont parvenus à plusieurs reprises à la conduire au bord de la folie.

- Springmeier, Op. Cit.

Marilyn était également constamment sous haute surveillance. Des années après sa mort, on retrouva une quantité incroyable d’équipements de surveillance dans l’une de ses maisons.

En 1972, l’actrice Veronica Hamel et son mari sont devenus les nouveaux propriétaires de la maison de Marilyn à Brentwood. Ils embauchèrent une entreprise pour remplacer le toit et remodeler la maison, et l’entreprise découvrit du matériel d’espionnage sophistiqué et un système d’écoutes téléphoniques qui couvraient toutes les pièces de la maison. Ces composants n’étaient pas disponibles dans le commerce en 1962, mais selon les mots d’un ancien responsable du département de la justice, c’était « un équipement du FBI. » Cette découverte supplémentaire soutient aux revendications des théoriciens de la conspiration que Marilyn avait été placé sous surveillance par les Kennedy et la mafia. Les nouveaux propriétaires dépensèrent 100.000 dollars pour retirer les dispositifs d’écoutes de la maison.

- Source: IMDB


Sous le Charme des Médecins du Mental

En 1956, Marilyn se convertit au judaïsme et épousa son troisième mari, le scénariste Arthur Miller. À ce stade, les seules personnes dans la vie de Monroe étaient son mari et son professeur d’art dramatique Lee Strasberg et ses psychiatres Margaret Hohenberg, Marianne Kris et Ralph Greenson.

La vie de Marilyn était incroyablement monotone pour elle. Les rendez-vous avec son médecin (j’appris plus tard que c’étaient des rendez-vous avec des psychiatres) et ses cours d’art dramatique étaient pratiquement tout ce qu’elle avait pour ce distraire.

- Lena Pepitone, Marilyn Monroe Confidential: An Intimate Account”

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Lee Strasberg, l’entraîneur par intérim de Monroe. Selon Elia Kazan: « Il portait avec lui l’aura d’un prophète, un magicien, un sorcier, un psychanalyste et un père redouté d’une maison juive. »

La preuve ultime que ces personnes étaient les seules personnes dans la vie de Marilyn, et ils héritèrent de la majeure partie de sa fortune. Lee Strasberg hérita à lui seul 75% de sa succession tandis que le Dr Kris a obtenu 25%.

Marilyn commença à s’associer avec Lee, et Paula Strasberg sa femme vers 1955, très vite ils devinrent une influence colossale dans la vie de Marilyn, avec une prise en charge sur presque de tous les aspects de sa vie.

De nombreux amis et collègues de Marilyn ont vu ce qui lui arrivait et se sentaient très mal à l’aise, mais étaient incapables de faire quoi que ce soit. Alors qu’elle était mariée à Arthur Miller, Miller commença à exprimer ces préoccupations à Marilyn.

Au cours de la dernière année de sa vie, il y avait des signes que sa foi envers Strasberg s’affaiblissait et qu’elle ne voulait plus qu’ils aient le contrôle. Il fut dit qu’elle songeait se passer de leurs services – ce qui a été perçu comme un autre indicateur que Marilyn avait l’intention de modifier son testament.

- Loving Marilyn, Who Owns Marilyn’s Things?

Après sa mort, le testament de Marilyn a été contesté en raison de sa vie sous «l’influence indue» de ses maîtres.

Le 25 Octobre 1962, le Los Angeles Times a publié que le testament de Marilyn Monroe a été longtemps contestée par son ancienne imprésario Inez Melson. Mlle Melson, qui n’était pas une bénéficiaire du testament a affirmé que Marilyn était sous l’influence indue de Lee Strasberg ou du Dr Marianne Kris au moment où le testament a été fait.

- Ibid.

Une autre preuve du contrôle mental excessif des « médecins de l’esprit » sur la vie de Marilyn est le fait que son psychiatre Ralph Greenson,qui retrouva Monroe sans vie. Pourquoi était-il dans sa maison tard dans la nuit? Comme nous le verrons dans la prochaine partie de cette série d’articles, les circonstances de sa mort sont extrêmement suspectes.

En bref, comme c’est le cas pour la plupart des esclaves Monarque, les maîtres de Marilyn avaient pris en charge tous les aspects de sa vie. Les contacts avec les membres de la famille étaient totalement interdits.

Bien que Marilyn Monroe avait de la famille, ses médecins, psychologues et coachs l’ont isolé. (…) Des membres de la famille Hogan, qui vivaient dans la région de Los Angeles, avaient tenté de prendre contact avec Marilyn Monroe après qu’elle soit devenue célèbre, et leurs efforts pour communiquer avec elle ont été bloqués.

- Jennifer Jean Miller, “Was Phenergan Marilyn Monroe’s Silent Killer, and Was She a Victim of Psychological Abuse, Medical Malpractice and Wrongful Death?”

Déconnecté de sa famille et avec pratiquement pas d’amis, Monroe était en visite thérapeutique presque quotidiennement. Ses visites, étaient-elles en réalité des sessions de programmation? Une chose est sûre, quand la fréquence des visites ont augmenté, l’état de Monroe est devenue pire. Un récit particulièrement douloureux est «L’histoire du Chirurgien », un texte écrit par Monroe elle-même.


L’histoire du Chirurgien

L’histoire du chirurgien est un texte écrit par Monroe sous forme de poème, où elle décrit être découpée par Lee Strasberg et son psychiatre Margaret Hohenberg. Alors que certains décrivent cette histoire comme le souvenir d’un cauchemar de Marilyn, mais d’autres chercheurs affirment qu’il s’agit est en fait une description d’une séance de contrôle mental.

Strasberg — c’est le meilleur et le plus compétent des chirurgiens
pour m’ouvrir, ce à quoi je n’objecte pas puisque le Dr H.
m’y a préparée — elle m’a administré un anesthésiant
et c’est elle aussi qui a diagnostiqué mon cas et qui
est d’accord avec ce qui doit être pratiqué –
une opération — pour me ramener à la vie et
me guérir de cette terrible mal-adie
ou quoi que ce soit — (…)

Une fois que le Dr H. m’a administré un anesthésiant pour tenter de me soulager médicalement, Strasberg m’ouvre –
et après tout dans la pièce devient BLANC, en fait je ne vois plus personne, juste des objets blancs -

– ils m’ouvrent — Strasberg et la nana Hohenberg
et il n’y a absolument rien là-dedans –
Strasberg est
profondément déçu mais encore plus –
étonné sur le plan intellectuel
qu’il ait pu commettre une telle erreur. Il
pensait trouver bien plus –
qu’il n’avait jamais espéré trouver…
et au lieu de ça, il n’y avait absolument rien –
dépourvue de
toute créature humaine vivante sensible –
la seule chose
qui est en est sorti était de la sciure de bois très fine — comme on en trouve à l’intérieur des poupées à l’effigie de Raggedy Ann¹ (poupée de chiffons) — et la sciure
se répand
sur le sol et la table
le Dr H est
déconcertée
parce qu’elle comprend soudain qu’elle est confrontée à
un nouveau cas de figure où la patiente… existe
à partir du vide extrême.
Strasberg voit ses rêves et espoirs de salle d’opération
tomber à l’eau.
Le Dr H. doit renoncer à
ses rêves et espoirs de traitement
psychiatrique durable — Arthur est déçu –
Abandonné.

Dans cette histoire étrange et inquiétante, Monroe explique avoir été drogué et « ouverte » par ses psychiatres. Elle écrit que l’opération ne la gênait pas, parce qu’elle y était « préparée ». Était-elle en état de dissociation? Elle mentionne aussi de voir « seulement du blanc », ce qui pourrait se référer à de la privation sensorielle - une méthode utilisée dans la programmation MK ultra.

Une fois « ouverte », les médecins ont seulement trouvé « de la sciure de bois coupée finement» à l’intérieur d’elle « comme celle sortant d’une poupée raggedy ann ». Ce sont les mots typiques d’un esclave de MK ultra qui a complètement perdu le contact avec leur vrai personnalité intérieure. Marilyn se perçoit comme une poupée « vide ».

Selon Jason Kennedy, un membre de la famille de Marilyn, l’histoire du chirurgien décrit des techniques de contrôle mental comme la privatisation sensorielle et l’administration de médicaments anesthésiants entraînant une dissociation.

Des publications en ligne ont fait référence à  »L’histoire du Chirurgien » comme un rêve ou un cauchemar. Même une musicienne, Annie Clark, a été inspiré pour écrire une chanson avec les paroles, «Meilleur, le meilleur chirurgien / Viens m’ouvrir », car elle croyait que Marilyn a écrit ces paroles en hommage à Lee Strasberg pendant ses études avec lui.

Jason, par ailleurs, reliait ce récit à un moment très réel de la vie de Marilyn Monroe, et à un récit des expériences, après avoir été soumise aux techniques de contrôle mental et de narcose par Lee Strasberg et le Dr Margaret Hohenberg, subies dans des séances privées avec le duo en 1955 pour aider à libérer les blocages de son jeu de scène.

Leur méthodologie consistait à fouiller en elle ses souvenirs d’enfance douloureux, en lui disant, qu’ils feraient d’elle une grande actrice.

Selon les recherches de Jason, la paire aavait convaincu Marilyn que tout cela était en  partie pour ‘ »l’aider ». Il a dit qu’elle était confuse dès le départ comme elle l’a rédigé en détails dans « l’histoire du Chirurgien », corrigeant ses propres détails du récit, remplaçant « élève » ou « étudiante » par « patiente ».

«C’était une opération sur son esprit», a déclaré Jason. « Elle n’a pas été coupé physiquement, mais mentalement. »

Il a dit qu’elle a été utilisé pour la briser et changer son comportement.

« Cela n’avait rien à voir avec un jeu de scène », continuait Jason. C’était de l’extorsion pure et simple en utilisant des techniques de contrôle mental. En outre, « les médicaments de contrôle» n’étaient qu’un aspect du processus pour le contrôle de l’esprit. La privatisation sensorielle, les anesthésies dissociatives, et la conduite psychique font tous partie d’un processus global du contrôle mental.

Lee Strasberg se désignait souvent comme médecin, y compris dans son livre 1965,  »Strasberg à l’Actor’s Studio : séances enregistrées ».

- Ibid.

Si cette histoire s’est réellement passée ou non, elle exprime néanmoins le fonctionnement interne des pensées d’une esclave du contrôle mental, qui est impuissante contre ses maîtres et de leurs tentatives médicales pour la programmer et la modifier. Malheureusement, d’autres événements traumatisants causés par ses préposés étaient très bien réels.


Traumatisée par ses Maîtres

En 1961, le Dr Kris convainc Marilyn à s’enregistrement à l’aile psychatrique de Payne Whitney. Les événements qui ont suivi sont choquants compte tenu du fait que Marilyn était une star de cinéma de renommée mondiale – mais c’est pas surprenant compte tenu du fait qu’elle était une esclave du contrôle mental. Voici ce qui est arrivé à l’hôpital psychiatrique :

Kris avait conduit Marilyn au tentaculaire, Hôpital de briques-blanches à New York—le Centre Médical Weill Cornell, donnant sur l’East River à 68th Street. Enveloppée dans un manteau de fourrure et en utilisant le nom Faye Miller, elle a signé les papiers pour se faire admettre, mais elle a rapidement découvert qu’elle n’était pas escortée à un endroit où elle pourrait se reposer mais à une chambre capitonnée dans un service psychiatrique fermé. Plus elle sanglotait et suppliait qu’on la laisse sortir, en frappant sur ​​les portes en acier, et plus le personnel psychiatrique croyait qu’elle était effectivement psychotique. Elle a été menacé avec une camisole de force, puis ses vêtements et son sac à main lui ont été pris. On l’a forcé à prendre un bain et revêtu d’une chemise d’hôpital.

Les 1er et 2 mars 1961, Marilyn écrivit une extraordinaire lettre de 6 pages au Dr Greenson décrivant de manière saisissante son supplice : « Il n’existait aucune empathie à Payne Whitney – c’était d’un très mauvais effet – m’informèrent-ils après m’avoir mise dans une « cellule » (je veux dire un bloc de ciment) pour patients déprimés très perturbés (sauf que j’avais l’impression d’être dans une sorte de prison pour un crime que je n’avais pas commis. J’ai tout trouvé d’une inhumanité archaïque…tout était verrouillé et fermé à clé…les portes étaient vitrées et les patients étaient donc visibles en permanence, la violence et les marques laissées par les précédents patients étaient toujours visibles sur les murs.)

(…)

Un psychiatre entra et lui fit un examen physique, « comportant l’examen de la poitrine à la recherche de grosseurs ». Elle s’opposa, lui disant qu’elle avait eu un examen complet il y avait moins d’un mois, mais cela ne le découragea pas.

Quand elle refusa de coopérer avec l’équipe, « deux hommes et deux femmes baraqués la soulevèrent chacun par un bras et une jambe et l’emmenèrent en ascenseur au septième étage de l’hôpital. (« Je dois dire qu’ils ont eu au moins la décence de me porter le visage face au sol…je n’ai fait que pleurer tout le temps du trajet, » écrivait-elle.)

On lui ordonna de prendre un autre bain – le deuxième depuis son arrivée – et l’administrateur en chef entra ensuite pour lui poser des questions. « Il m’a dit que j’étais une fille très très malade et que j’étais une fille très très malade depuis des années ».

Le Dr Kris, qui avait promis de la voir le jour suivant son enfermement, ne vint pas et ni Lee Strasberg ni sa femme Paula, à qui elle réussit à envoyer une lettre, ne purent la faire sortir, car ils n’étaient pas de la famille.

- Marilyn and Her Monsters, Vanity Fair

Un autre aspect moins connu de la vie de Monroe, ce sont ses deux grossesses ratées. Alors que la plupart des biographies déclarent qu’elle avait fait des fausse-couches, certains récits font en réalité allusion à des fausse-couches provoquées. Provoquer des fausse-couches est une pratique courante dans le MK ULTRA et, si on lit la propre version de Marilyn, il semble que ses maîtres lui ont pris son bébé. Dans le livre de Pepitone, Marilyn aurait dit au sujet de sa grossesse :

Ne prenez pas mon bébé. Ils me l’ont pris…et je ne le reverrai jamais.

- Pepitone, Op. Cit.

Le livre énonce en substance que Marilyn n’avait pas fait de fausse-couche. « Ils » lui ont pris son bébé.

Après que Marilyn ait mis au monde un bébé en bonne santé, il lui fut enlevé et elle n’eut jamais l’autorisation de le voir. Il fut très probablement sacrifié. Marilyn était trop effrayée pour demander ce qu’ils allaient en faire.

- Springmeier, Op. Cit.

Selon ses biographies, Marilyn perdit deux bébés à la polyclinique, endroit où, selon Springmeier, elle avait été programmée.

L’opération se passa à la polyclinique où Marilyn avait perdu un bébé l’année précédente… Marilyn disait : « Retourner à cet hôpital est un cauchemar…De la souffrance ? Quelle souffrance ? ». La seule souffrance pour elle fut de ne pas avoir son enfant

- Pepitone, Op. Cit.

Il faut noter qu’elle retourne toujours à la polyclinique. Les victimes Monarque devaient endurer une somme énorme d’horribles tortures. Elles apprenaient à survivre en se dissociant. Quand Marilyn dit « Quelle souffrance ? » sa réponse reflète exactement sa souffrance. Elle ne pouvait pas souffrir parce qu’elle s’était dissociée. Certains alters sont créés pour accepter la souffrance et les autres alters n’ont pas à la vivre.

- Springmeier, Op. Cit.


En Conclusion

Dans la première partie de ces articles, nous avons regardé la vie cachée de Marilyn Monroe – qui révèle le côté sombre d’Hollywood. Marilyn n’a pas été seulement totalement manipulée par ses maîtres, mais a été maltraitée et traumatisée pour la garder sous contrôle et renforcer sa programmation. Les faits effrayants mentionnés ci-dessus proviennent de différentes sources, mais mis bout à bout, ils donnent une image triste, pourtant claire comme de l’eau de roche de la vie d’une esclave MK Ultra d’Hollywood. Trauma, maltraitance, isolement, contrôle mental et surveillance constante firent partie de la vie quotidienne de Monroe.

Les victimes paient un lourd tribut pour ce genre de maltraitance et au bout d’un certain temps s’ensuit presque inévitablement un effondrement. À ce moment-là, les esclaves MK Ultra sont habituellement « éjectées du train de la liberté ». Cela fut-il ce qui arriva finalement à Marilyn ?

Ceci conclut la première partie de la série sur Marilyn Monroe. Restez branchés pour la deuxième partie qui décrira sa vie en tant que mannequin présidentiel de JFK et les étranges circonstances de sa mort. Nous examinerons aussi comment elle est devenue le symbole de la Programmation Beta de l’actuelle industrie du monde du spectacle et la manière dont son histoire se répète encore et toujours.

Partie 2
Mise en garde contre la propagande de guerreLe MI5 et les tueurs de Woolwich

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28 mai 2013 articles, contrôle mentalContrôle mental, Marilyn Monroe, MK-Ultra674
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