– Ordo Ab Chao
Le 30 janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré une Urgence de Santé Publique de portée Internationale (USPPI) concernant le nouveau coronavirus chinois (2019-nCoV) classé comme pneumonie virale. L’épidémie du virus s’est concentrée à Wuhan, une ville de l’est de la Chine comptant plus de 11 millions d’habitants.
Au cours de la semaine précédant la décision du 30 janvier, le Comité d’urgence de l’OMS «a exprimé des vues divergentes». Il y avait des divisions visibles au sein du Comité. Le 30 janvier, une décision de grande envergure a été prise sans le soutien d’un expert à un moment où l’épidémie de coronavirus était limitée à la Chine continentale.
Il y avait 150 cas confirmés hors de Chine, lorsque la décision a été prise. 6 aux États-Unis, 3 au Canada, 2 au Royaume-Uni, etc.
150 cas confirmés sur une population de 6,4 milliards d’habitants (7,8 milliards d’habitants dans le monde et 1,4 milliard en Chine).
Quel était le risque d’être infecté ? Pratiquement zéro.
L’OMS n’a pas agi pour rassurer et informer l’opinion publique mondiale. Bien au contraire: une «pandémie de peur» plutôt qu’une véritable urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) a été lancée.
La panique et l’incertitude ont été entretenues grâce à une campagne de désinformation médiatique soigneusement conçue.
Presque immédiatement, cela a entraîné des bouleversements économiques, une crise du commerce et des transports avec la Chine affectant les grandes compagnies aériennes et les compagnies maritimes. Une campagne de haine contre les Chinois de souche dans les pays occidentaux a été lancée, suivie de l’effondrement fin février des marchés boursiers, sans parler de la crise de l’industrie touristique qui a provoqué de nombreuses faillites.
La complexité de cette crise et ses impacts doivent être abordés et soigneusement analysés.
Il s’agit d’une «guerre économique» soutenue par la désinformation des médias, couplée à l’intention délibérée de l’administration Trump de saper l’économie chinoise. Les bouleversements économiques en cours ne se limitent pas à la Chine.
Il existe d’importants problèmes de santé publique qui doivent être traités. Mais qu’est-ce qui a motivé le Directeur général de l’OMS à agir de cette manière ? Qui était à l’origine de cette décision historique du 30 janvier du directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Notre analyse (dans la chronologie ci-dessous) révèle que les puissants intérêts des entreprises liés à Big Pharma, Wall Street et les agences du gouvernement américain ont joué un rôle déterminant dans la décision de grande envergure de l’OMS.
Ce qui est en jeu, c’est l’alliance de «Big Pharma» et «Big Money», avec l’aval de l’administration Trump. La décision de lancer une fausse pandémie sous la houlette de l’OMS le 30 janvier a été prise une semaine plus tôt lors du Forum économique mondial de Davos (WEF). L’opération médiatique était là pour semer la panique.
Mais ce n’était pas la première fois que l’OMS décidait d’agir ainsi.
Souvenez-vous des circonstances inhabituelles entourant la pandémie de grippe porcine H1N1 d’avril 2009.
Une atmosphère de peur et d’intimidation régnait. Les données ont été manipulées.
Sur la base de données incomplètes et insuffisantes, le directeur général de l’OMS a néanmoins prédit avec autorité que: « jusqu’à 2 milliards de personnes pourraient être infectées au cours des deux prochaines années – près d’un tiers de la population mondiale ». (Organisation mondiale de la santé, rapportée par les médias occidentaux, juillet 2009).
Il s’agissait d’une aubaine de plusieurs milliards pour Big Pharma soutenue par la Directrice générale de l’OMS Margaret Chan.
En juin 2009, Margaret Chan a fait la déclaration suivante :
”Sur la base de… expertises des preuves, les critères scientifiques d'une pandémie de grippe sont remplis. J'ai donc décidé d'élever le niveau d'alerte à la pandémie de grippe de la phase 5 à la phase 6. Le monde est maintenant au début de la pandémie de grippe de 2009.
Margaret Chan11 juin 2009
Quelles sont les « évaluations d’experts » ?
Dans une déclaration ultérieure, elle a confirmé que : « les fabricants de vaccins pourraient produire 4,9 milliards de vaccins contre la grippe en cas de pandémie par an dans le scénario le plus optimiste » (Reuters, 21 juillet 2009).
Une aubaine financière pour les producteurs de vaccins Big Pharma, notamment GlaxoSmithKline, Novartis, Merck & Co., Sanofi, Pfizer. et compagnie…
Chronologie du Covid-19
Remarques finales
Nous sommes confrontés à une crise mondiale complexe avec des implications économiques, sociales et géopolitiques de grande envergure.
Nous avons fourni des informations factuelles ainsi qu’une analyse sous une forme résumée de «bon sens».
Il est important que le COVID-19 fasse l’objet d’un large débat et que les «interprétations officielles» soient vigoureusement contestées.
Nous demandons à nos lecteurs de transmettre cet article ainsi que d’autres articles de Global Research concernant le coronavirus COVID-19.
Merveilleux article qui fait ressortir des parallèles inquiétants
Il manque l’analyse financière des « Obligations Pandémie OMS », édifiant à y regarder de près…